Je suis partagé sur ce film.
On passe sans aucun doute un bon moment: c'est fait pour. Il y a aussi la touche Burton: hollywoodien mais loufoque ou plutôt loufoque mais hollywoodien.
En fait, passé ces quelques sourires, il reste me surtout le sentiment que si Lewis Carroll a écrit Alice et l'autre côté du miroir en se moquant d'un certain ordre établi et en soulignant l'absurde par l'absurde, Burton en a gardé la forme onirique mais n'a pas su en reprendre le fond.