Du côté de chez Soum
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 Article du dictateur...

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Poum
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Poum


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MessageSujet: Article du dictateur...   Article du dictateur... Icon_minipostedVen 8 Juin à 20:42

Je suis tombé par hasard sur cet article dans un journal et je n'avais pas encore lu la signature que je m'entousiasmais pour la simplicité et la cohérence du raisonnement.
Puis vers la moitié de l'article, la référence aux appels au meurtre dont Fidel est l'objet m'a éclairé sur l'auteur. Des chiffres et des idées pour réfléchir...

La traduction en Français suit en réponse...



Las ideas no se matan - Jueves, 31 de Mayo de 2007 hora 12:41

Fidel Castro Ruz

Hace unos días, al analizar los gastos que implicaba la construcción de tres submarinos de la serie Astute, dije que con ese dinero “se podrían formar 75 mil médicos y atender a 150 millones de personas, suponiendo que el costo de formar un médico fuera la tercera parte de lo que cuesta en Estados Unidos”. Ahora, siguiendo el mismo cálculo, me pregunto cuántos médicos se podrían graduar con los cien mil millones de dólares que, en un solo año, caen en manos de Bush para seguir sembrando luto en hogares iraquíes y norteamericanos. Respuesta: 999,990 médicos, los cuales podrían atender a 2 mil millones de personas que hoy no reciben servicio médico alguno.
Más de 600 mil personas han perdido la vida en Irak y más de 2 millones se han visto obligadas a emigrar desde la invasión norteamericana.
En los propios Estados Unidos, alrededor de 50 millones de personas carecen de seguro médico. La ley ciega del mercado rige la prestación de ese vital servicio, y los precios se vuelven inaccesibles para muchas personas aun dentro de los países desarrollados. A la economía de Estados Unidos los servicios médicos le aportan Producto Interno Bruto, pero no generan conciencia a los que los prestan ni tranquilidad en los que los reciben.
Los países que tienen menor desarrollo y más enfermedades disponen de menos médicos: uno por cada 5 mil, 10 mil, 15 mil, 20 mil o más habitantes. Cuando surgen nuevas enfermedades como el SIDA, de transmisión sexual, que en apenas 20 años ha privado de la vida a millones de personas, la padecen decenas de millones, entre ellas muchas madres y niños, para la cual existen ya paliativos, el precio de los medicamentos por persona puede ser 5 mil, 10 mil o hasta 15 mil dólares cada año. Son cifras de fantasía para la gran mayoría de los países del Tercer Mundo. Los pocos hospitales públicos se saturan de enfermos, que mueren amontonados como animales bajo el azote de una epidemia repentina.
Tal vez estas realidades, si se meditan, ayuden a una mayor comprensión de la tragedia. No se trata de una publicidad comercial que tanto dinero y tecnología requiere. Súmese el hambre que padecen cientos de millones de seres humanos, añádasele la idea de convertir los alimentos en combu-stibles, búsquesele un símbolo y la respuesta será George W. Bush.
Preguntado en fecha reciente por una personalidad impor-tante sobre su política hacia Cuba, su res-puesta fue: “Yo soy un Presidente de línea dura y sólo espero la muerte de Castro”. No constituyen un privile-gio los deseos de tan poderoso caballero. No soy el primero ni sería el último que Bush ordenó privar de la vida, o de los que se propone seguir matan-do de forma individual o masiva.
“Las ideas no se matan”, exclamó con fuerza Sarría, un teniente negro, jefe de la patrulla del ejército de Batista, que nos hizo prisioneros después del intento de ocupar el Cuartel Moncada mientras dormíamos tres de nosotros en una pequeña choza de las montañas, agotados por el esfuerzo para romper el cerco. Los soldados, llenos de odio y adrenalina, apuntaban hacia mí aún sin haberme identificado. “Las ideas no se matan”, continuó repitiendo, ya casi en voz baja, automáticamente, el teniente negro.
Aquellas magníficas palabras se las dedico a usted, señor W. Bush.

http://www.diariocolatino.com/opiniones/detalles.asp?NewsID=3602


Dernière édition par le Ven 8 Juin à 20:47, édité 1 fois
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Poum
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MessageSujet: Les idées ne se tuent pas...   Article du dictateur... Icon_minipostedVen 8 Juin à 20:45

Le voilà...

Voilà quelques jours, analysant les dépenses qu’entraît la construction de trois sous-marins de la classe Astute, j’avais affirmé « qu’avec une somme pareille on pourrait former 75 000 médecins en mesure de soigner 150 millions de personnes, à supposer que le coût de la formation d’un médecin au Royaume-Uni soit le tiers de ce qu’elle vaut aux Etats-Unis ». Je me demande maintenant, en faisant le même calcul, combien on pourrait diplômer de médecins avec les cent milliards de dollars que tomberont dans les mains de Bush rien qu’en une année pour continuer de semer le deuil dans les foyers iraqiens et étasuniens. Réponse : 999 990 médecins, en mesure de soigner deux milliards de personnes ne recevant aucun service médical.

Plus de 600 000 personnes ont perdu la vie en Iraq et plus de deux millions ont été contraintes d’émigrer depuis l’invasion étasunienne.

Aux Etats-Unis mêmes, environ 50 millions de personne n’ont pas d’assurance-maladie. La loi d’airain du marché régit la prestation de ce service vital, dont les tarifs sont devenus inaccessibles pour bien des gens même dans les pays développés. Les services médicaux apportent du Produit intérieur brut à l’économie étasunienne, certes, mais pas de conscience à ceux qui les prêtent ni de tranquillité à ceux qui les reçoivent.

Les pays à moindre développement et avec un éventail plus large des maladies, disposent de moins de médecins : 1 pour 5 000 habitants, ou 10 000 ou 15 000 ou 20 000 ou plus. Quand apparaissent de nouvelles maladies à transmission sexuelle, tel le sida qui a privé de la vie en vingt ans à peine des millions de personnes, ce sont des dizaines de millions d’êtres humains qui en souffrent, dont de nombreuses mères et de nombreux enfants, des maladies pour lesquelles il existe déjà des palliatifs, mais à un coût de traitement pouvant atteindre 5 000 ou 10 000, voire 15 000 dollars par personne et par an. Ce sont des montants irréels pour la grande majorité des pays du tiers-monde. Les rares hôpitaux publics sont bondés de malades qui meurent entassés tels des animaux sous les coups d’une épidémie soudaine.

Ces réalités, si l’on voulait bien y réfléchir, pourraient peut-être aider à mieux faire comprendre l’ampleur de la tragédie. Il ne s’agit pas d’une pub qui nécessite tant d’argent et de technologie. Ajoutez à cela la faim que souffrent des millions d’être humains, ajoutez-y l’idée de convertir les aliments en carburants, cherchez-y un symbole, et vous aurez pour réponse : George W. Bush.

Interrogé récemment par une personnalité importante au sujet de sa politique envers Cuba, il a répondu : « Je suis un président de ligne dure et tout ce que j’attends, c’est la mort de Castro. » Les souhaits d’un si puissant monsieur ne constituent pas un privilège. Je ne suis pas le premier ni ne serais le dernier que Bush a ordonné de priver de la vie, ou de ceux qu’il se propose de continuer de tuer d’une manière individuelle ou massive.

« Les idées, ça ne s’abat pas ! », s’était écrié avec force Sarría, un lieutenant noir dirigeant la patrouille de l’armée de Batista qui nous avait fait prisonniers après notre tentative de prendre la caserne Moncada quand trois de nous dormions dans une petit cahute de montagne, épuisés après les efforts que nous avions consentis pour briser l’encerclement. Les soldats, pleins de haine et d’adrénaline, me visaient, sans m’avoir encore identifié. « Les idées, ça ne s’abat pas ! », continuait de répéter, presque à voix basse, telle une psalmodie, le lieutenant noir.

Cette splendide phrase, je vous la dédie, monsieur W. Bush.

Fidel Castro Ruz

28 mai 2007

18 h 58


http://www.cadenagramonte.cubaweb.cu/francais/nouvelles/mai_07/280507_01.asp
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